Résumé de l’affaire

Ou quand un homme, ex-consultant chez Renault SAS, au cœur d’une affaire scandaleuse depuis plus de quinze ans, décide de dénoncer aux yeux de tous les pratiques mafieuses de cette société et de ses complices « en col blanc »

Croyez-vous encore en la justice de notre beau pays ?
Les trois pouvoirs, exécutif, législatif et judiciaire sont-ils réellement indépendants ?
Je vous propose aujourd’hui, en quelques lignes, de vous permettre de répondre à ces deux questions.
Pour avoir été consultant au sein d’une grande entreprise française, Renault SAS, je connais depuis plus de quinze ans les machinations de délinquants dits « en col blanc ».
Tout ce fiasco judiciaire vient d’un seul point : mon refus de cautionner des pratiques anticoncurrentielles au sein de Renault SAS (communication de propositions à d’autres prestataires, appels d’offres pipés, etc.).

« Des dépenses anormales, notamment auprès de Publicis »

Embauché officiellement au sein de Renault SAS en tant que consultant le 1er juin 1999, j’ai créé un process d’achat qui a permis à l’entreprise de faire de considérables économies.
En raison des réussites successives on a donc décidé de m’envoyer dans d’autres pays que ceux initialement prévus dans mon contrat (France, Espagne), notamment en Allemagne et en Belgique.
Mon accès aux comptes de la société m’a permis de mettre le doigt sur des dépenses anormales, notamment auprès de Publicis, célèbre agence de publicité dirigée par Monsieur M.L.

Mon refus de cautionner les pratiques dites anticoncurrentielles de Renault n’a pas tardé à être sanctionné : Madame A.D.G., directrice des achats de tertiaire et de prestation a en effet falsifié un avenant de quatre mois, mettant un terme à ma collaboration avec Renault fin septembre 2000, alors que je n’ai jamais signé ledit document.
Après avoir récolté toutes les preuves nécessaires, j’ai porté plainte contre Renault auprès de Monsieur Gilbert Costes, président du tribunal de commerce de Paris, pour faux et usage de faux et pour rupture abusive de contrat. Ce Président a immédiatement saisi le Parquet.

« Renault n’a jamais été en mesure de présenter une seule pièce permettant de légitimer une seule des décisions émises à mon encontre. »

Vous devez vous dire pour l’instant que cette histoire ressemble à beaucoup d’autres puisque le fait qu’un employé voire un consultant soit floué par la grande entreprise pour laquelle il travaille n’a malheureusement plus rien d’extraordinaire…
Oui, mais…
Ce n’est pas seulement Renault qui s’est compromis au cours de cette affaire qui dure depuis plus de quinze ans.
Ce sont aussi des juges, des politiques, et c’est là qu’une « simple » affaire de faux prend une ampleur infiniment plus considérable.

Dès le début de l’affaire, Renault prend le parti de nier l’existence du faux ainsi que mes déplacements en dehors de la France et de l’Espagne et se réfugie derrière, je cite, « mon imagination fertile et ma paranoïa débordante ».
Sympathique qualification qui reste leur seul argument depuis le début de l’affaire.
Argument qui leur a d’ailleurs permis d’obtenir des jugements sans aucune preuve puisque Renault n’a jamais été en mesure de présenter une seule pièce permettant de légitimer une seule des décisions émises à mon encontre.

« Un accord tacite entre l’avoué de Renault, l’avocat de Renault, mon propre avoué et le président de la cour d’appel de Paris »

Ces jugements, et l’ensemble des réponses à mes courriers adressés à des juges et des politiques, afin de dénoncer Renault SAS et de mettre en évidence leurs pratiques mafieuses mettent en lumière une vérité scandaleuse : notre République « irréprochable » accepte de couvrir une entreprise qui se réfugie derrière des décisions arbitraires et des escroqueries aux jugements à volonté.
En effet, je ne compte plus les classements sans suite, les faux (commis par des magistrats eux-mêmes comme Monsieur J. qui a transformé le contenu d’une lettre pour « soutenir » Renault ou encore par un huissier avec un constat dont la page la plus importante, puisqu’elle établit formellement la culpabilité de mes adversaires, a « miraculeusement » disparu) ainsi que les « prescriptions »… Je rappelle au passage que, lorsqu’une escroquerie de manœuvres répétées se déroule, formant un tout,  le délai de prescription commence à la date des derniers méfaits (soit octobre 2014).
J’en profite donc pour remercier mes adversaires d’en avoir commis autant et de façon si régulière !
Je ne m’attarderai pas sur les autres pratiques scandaleuses de Renault et de ses complices :
– Les preuves de l’entente entre Renault et mon ex-établissement bancaire qui s’est empressé d’émettre de faux virements pour dépouiller mon compte et me « tuer » économiquement.
– Un accord tacite entre l’avoué de Renault, l’avocat de Renault, mon propre avoué et le président de la cour d’appel de Paris dont Monsieur M.P. et moi-même furent témoins à la sortie d’un des procès où un faux dans un procès-verbal était un sujet d’inquiétude
– Violation de la constitution : suite à ma dernière plainte, le procureur de la République a de nouveau décidé de classer sans suite, me laissant à nouveau la possibilité de saisir le procureur général, le même procureur général qui était dans ma plainte et qui a donc donné raison au procureur de la République !
– Enfin, comme je l’ai écrit au président directeur général de Renault Nissan, au procureur général de la cour d’appel de Paris ainsi qu’au procureur de la République de Paris dans mon courrier du 3 décembre 2014, je suis preneur s’ils ont des nouvelles du cambriolage qui m’a privé de certains de mes documents au mois de décembre 2012. Heureusement pas assez pour m’arrêter…

« Pouvez-vous vous aussi vous réfugier derrière des faux dans des écritures publiques ? »

Je vous propose dès à présent de vous rendre chaque semaine sur mon site où des preuves seront régulièrement ajoutées.
Vous pouvez dès à présent y retrouver les deux derniers courriers du 3 décembre 2014 (adressés respectivement au président directeur général de Renault Nissan, au procureur général de la cour d’appel de Paris ainsi qu’au procureur de la République et à monsieur François Hollande, président de la République, au ministre de l’économie, des finances et de l’industrie ainsi qu’à madame la ministre de la justice, garde des Sceaux) ainsi que les éléments ajoutés le 17 février.
Il va sans dire que je dispose des preuves permettant de prouver mes dires (et c’est bien cela qui gêne Renault depuis tout ce temps).
 
Enfin  je finirai par cette question : pouvez-vous vous aussi vous réfugier derrière des faux dans des écritures publiques ?
Il est temps que l’on fasse cesser les exactions d’escrocs qui se moquent de vous, de nous, de la République.

 Hervé Lamiaux

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