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Lettre du 28 juin 2019 à Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République Française

Complément et reprise du Site internet : Hervé LAMIAUX J’accuse 2.0.

Des factures à juxtaposer (Cf. ci-dessous) sont en pièces jointes

La vérification est donc immédiate !

Saint-Just – Saint Rambert, le vendredi 28 juin 2019

Monsieur le Président de la République,

Isoler – Discréditer – Ejecter – Asphyxier voire …. ne leur suffit plus !

Votre « silence » est lourd de sens… je l’espère de réflexion. Je me permets donc de revenir vers vous dans le cadre de cette affaire pernicieuse, lamentable et scandaleuse.

Il n’est pas « concevable » que notre beau pays possède encore certaines instances judiciaires, présentées comme la Justice Souveraine par mes adversaires, alors qu’elles sont bel et bien arbitraires, pitoyables et profondément dépendantes (on comprend mieux la demande du défenseur de Carlos G. : « Revenir vite en France S.V.P. »).

Est-il « concevable » qu’un simple et ordinaire citoyen (un prétendu expert « local » dans le secteur de la communication) soit, à nouveau, dans la possibilité de démontrer instantanément que cette gigantesque escroquerie (organisée à l’origine par les dirigeants de la S.A.S. RENAULT) se poursuit en ce moment même à l’aide d’ententes illicites et ce, notamment au plus haut niveau de la magistrature (Où est passée la « pseudo-prescription » ?) ?

En effet, force est de constater que ma « troublante » pension actuelle, mensuelle d’invalidité est totalement truffée ainsi que tronquée par une brochette d’articles du Code Pénal : Escroqueries, Faux dans des écritures publiques, Abus de confiance, Abus de qualités vraies, etc. (On a retrouvé la « pseudo-prescription » ?).

Le Pouvoir Exécutif et les instances judiciaires faussement prétendues « compétentes » ont bel et bien mon dossier, relatif à ce sujet spécifique de pension (avec tous les justificatifs nécessaires adressés en R.A.R.), depuis deux ans. Dès lors peuvent-ils, enfin, m’expliquer pourquoi ladite pension d’invalidité est toujours de zéro pour les années dites RENAULT, à savoir 1999 et 2000 ? Idem, bien évidemment, pour une future retraite (la prescription, recherchée et appuyée par de trop nombreux délinquants, n’est vraiment pas pour demain, désolé) ! Quel était le montant à payer au sujet de la vérification de ma comptabilité pour ces mêmes années ? Aussi, mes autorités « d’impositions » peuvent-elles avoir l’amabilité de bien vouloir m’expliquer la bienveillante attitude de la direction de l’URSSAF à mon égard ?

Cette très aimable et respectable direction de l’URSSAF m’a fait part, dès l’année 2001 et ensuite, des difficultés qu’elle rencontrait avec une société qui serait souvent présentée comme privée : la S.A.S. RENAULT. C’est alors que j’ai pris connaissance des cotisations dues par cette fameuse et prétendue société privée. Quel choc ! Le Louis S. et le Carlos G. ont-ils régularisé cette situation pour le moins « rocambolesque » ? « Rocambolesque » car la direction de l’URSSAF m’a bel et bien précisé qu’elle ne pouvait pas s’en remettre à la justice française, je cite : « Ces gens, Monsieur LAMIAUX, sont chez eux sur l’ile de la cité à Paris. Ils font ce qu’ils veulent, tout ce qu’ils veulent » (sic). Vous l’avez compris, Monsieur le Président de la République, la direction de l’URSSAF m’informait, avec une extrême précision, de ce que j’allais connaître dans mes futurs déboires. Elle n’a commis aucun oubli.

Ce constat de fait n’est bel et bien qu’une vaste fumisterie. Quand une société prétendue privée propose, par exemple, à 4600 salariés volontaires de partir avant l’âge légal de la retraite, et, que cette même société n’est absolument pas « légaliste » mais tout à fait « nébuleuse« , une question s’impose : Qui paye pour une telle ruineuse incurie (cf. URSSAF et autres !) ? Après cette question, c’est un constat qui s’impose : les fumeuses stratégies du Louis S. et du Carlos G. ont donc toujours été à la charge du Peuple Français, Peuple Français qui n’est même pas défendu par le ministère public ! Bravo les « artistes » !

A ce stade d’une pure médiocrité et d’un désopilant « comique-troupier » (La fausse « pseudo-prescription » au clair de lune* ) :

Faisons simple / Que la Présidence et le Parquet Général de la Cour d’Appel de Paris ainsi que Monsieur Jean-Dominique SENARD, nouveau Président de la S.A.S. RENAULT, Vousapportent quelques éléments légitimement demandés à plusieurs reprises, mais, bien évidemment toujours refusés depuis le premier jour, à savoir :

L’état des frais de Madame Carol-Ann M. pour la période identique à la mienne ((FAUX) jamais présenté car les deux sont juxtaposablescf. le site joint),

L’exploit ((FAUX) commandité par la Direction générale de la S.A.S. RENAULT avec 10 pages délibérément « soustraites » entre les annexes 6 et 6-1 et ce, frauduleusement !) des huissiers dits de Justice, Didier B. – André H. – Franck J.,

La fameuse lettre où j’aurais écrit : « Je ne me rendrai plus ni en Allemagne ni en Belgique » ((FAUX) émis par les instances judiciaires « souveraines » des adversaires de la manifestation de la Vérité…).

Trois petits et simples éléments (Il en existe beaucoup d’autres…), dont deux bel et bien archivés au Palais de Justice de Paris. Peut-on faire plus simple et plus précis ?

Mais, comme vous le savez déjà, Monsieur le Président de la République, mes adversaires sont « artistiquement » incapables de Vous montrer une simple feuille, une seule ! Ils ne peuvent même pas déposer une seule plainte pour diffamation voire discrédits jetés sur des décisions juridictionnelles. En effet, « ils » devraient montrer les éléments cités – C.Q.F.D. !!!

Monsieur le Président de la République, je ne vous demande pas d’interpréter ni de commenter, encore moins d’intercéder auprès de ces précieux, ridicules et onéreux « pantins« .

Vous respectez notre Constitution, tout comme moi. Vous êtes le garant de l’indépendance de la Justice. Mais, où puis-je trouver une telle Justice « indépendante » dans notre République… de « nom » ? Auriez-vous l’amabilité de me faire savoir par retour si les adversaires avérés de la Vérité vous communiquent ou non les éléments demandés ? Il se peut que Monsieur Jean-Dominique SENARD soit honnête et intègre, à l’inverse de ses illustres et dévoués prédécesseurs !

Par ailleurs, le ministère de l’Education Nationale offre Les Fables de Monsieur Jean de La Fontaine à des milliers d’élèves, très belle initiative.

Le ministère de la Justice peut-il offrir le Code Pénal aux instances judiciaires visées par mes courriers, depuis 2002 ? Est-il besoin de joindre une dédicace : « Lisez-moi et respectez-moi…« ?Lesdites instances semblent ne pas connaître les articles relatifs aux Faux ni aux Escroqueries, encore moins à la Prescription (avec, par un simple exemple, le cas de jurisprudence 256 de l’article relatif aux escroqueries… – En faut-il d’autres ?).

Les indéniables méfaits commis ouvertement par des dirigeants peu scrupuleux, par des personnes dépositaires de l’autorité publique, sont indéniablement et excessivement graves et lourds, notamment pour notre Economie. Faut-il que je reprenne ici les affirmations avérées au sujet du « financement » de la stratégie du duo de piètres et lâches clowns : Louis S. et Carlos G. ? Le Peuple Français pris en otage, en outre juridiquement et économiquement, est à mille lieux d’imaginer qu’il finance, depuis des décennies, les « délires intéressés » d’incompétents techniques notoires.

Monsieur le Président de la République, combien de temps faut-il encore laisser à ces dangereux individus qui délèguent sans avoir de réelle « maîtrise d’œuvre » ? Je ne souhaite vraiment pas ironiser au sujet des derniers « événements« , des retours en ateliers, des régulateurs dits de la vitesse, des phares qui prennent l’eau, des moteurs qui rendent l’âme à soixante mille kilomètres, etc., encore moins des rapprochements à venir (Bonjour les dégâts, dégâts déjà constatés notamment dans un trop grand nombre de P.M.E. !). Tout était déjà écrit dans mes très vieilles missives étayées !

Non, si je me permets de vous saisir à nouveau et ainsi, c’est bel et bien au sujet du plus en plus pauvre contribuable français qui finance, sans le savoir, tous les actes frauduleux desdits dangereux individus, actes frauduleux que vous ne pouvez plus ignorer. Dès lors, un constat s’impose pour tout responsable à l’éthique et à la probité irréprochables : cette affaire n’a jamais été d’ordre « privé » !

Devant le travail remarquable du Tribunal Administratif, du Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale, d’honorables parlementaires (députés et sénatrices), de respectables ministres, de la loyale direction de l’URSSAF, c’est malheureusement des « malfrats suffisants » qui règnent ici dans une incroyable manifestation contre la Vérité ! (Où est l’enquête inter-ministérielle de l’irréprochable Madame Nicole Fontaine ? Connaissez-vous les mesures positives laissées à mon sujet par Monsieur Eric WOERTH en 2010 ? Quel ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie m’a imposé, pour mes « qualités » d’Audit indépendant, chez RENAULT en 1999 ? Que dire de son successeur, Laurent F., et des « pressions« , des « magouilles » avec son grand « Ami« , Louis S., en Février et Mars 2000 ? etc. )

Je dispose, depuis dix-neuf ans, de tous les témoins nécessaires. C’est pourquoi, les exécrables instances judiciaires souterraines concernées se sont précipitées afin d’auditionner : « personne » !

Lesdites exécrables instances judiciaires souterraines (en totale perdition !) tentent vainement de se réfugier derrière une fallacieuse « prescription » suite à une contestation « tardive » de ma part, contestation transmise par la Présidence de la République ainsi que par le ministère de la Justice… mais toutes celles d’avant ???

A ce stade d’une « forme« , qui est une mise en scène qui déforme, il vous faut savoir, une fois encore, l’irréfutable « factuel » :

Au second semestre de l’année 2002, Monsieur Gilbert COSTES, alors Président du Tribunal de Commerce de Paris et en raison de ses pouvoirs « restreints » (comme vous le savez bien) avait saisi le Parquet afin que ce dernier vérifie, notamment, un point comptable « clef » de ce qui allait devenir un désastre judiciaire :

– L’état des frais de Madame Carol-Ann M. pour la période identique à la mienne (élément déjà cité dans ce courrier) …

« Tout » allait devenir étrangement et extrêmement rapide. J’ai été entendu à Paris une journée entière par un brillant officier de la Brigade de la Délinquance Astucieuse… Le lendemain matin, très tôt, j’ai reçu un appel téléphonique « off » de cet officier (nous avions eu un excellent contact). Ce dernier m’annonçait qu’il n’avait jamais eu, vu autant d’interventions « intempestives » de sa hiérarchie.

Il fallait donc que je m’attende à recevoir un Classement sans suite du Procureur de la République, et, qu’aucune plainte ne pouvait, ne pourrait jamais aboutir !

Ledit officier a été « muté » officiellement le jour même en « Province« , une mutation « demandée« , on se demande bien pourquoi ! (Vous comprendrez et me permettrez de ne pas donner trop de détails précis au sujet de notre conversation avec ledit « honnête » officier : il n’est pas encore en retraite, sans commentaire).

Il ne restait donc plus aux adversaires de la manifestation de la Vérité qu’à exercer le « Ballet vaniteux » du « Paon » avec ses Classements sans suite et ses Refus d’informer.

Le premier Classement sans suite (sans contestation immédiate et possible de ma part) est bien arrivé, à mon domicile parisien, le jour même de celui du Jugement de Tribunal de Commerce de Paris. Le « message » était on ne peut plus « clair » !

Par la suite, il va sans dire que, toujours dans les délais impartis, j’ai légitimement contesté (toujours en R.A.R.) toutes, tant de pratiques dilatoires et dolosives ainsi que des répétitives décisions iniques voire bel et bien mafieuses.

Mais force est de constater que les « malfrats précieux et ridicules » savaient, savent encore pouvoir frauder délibérément, ouvertement, dans notre République et ce, sans aucun contrôle soutenu, aucune mesure exercée bien évidemment par les instances judiciaires souterraines et « collaboratrices » – au sens le plus négatif possible.

Enfin et dès lors, que l’on Vous montre l’inexistante procédure dite « contradictoire » dans ce « bourbier » affairiste et nuisible aux intérêts du Peuple Français, un Peuple Français anesthésié et trompé outrageusement depuis trop longtemps.

Mais, comme vous le savez déjà fort bien, aucune direction d’un parti dit politique, aucun syndicat, n’ont vraiment de leçon civique à « donner » à compter de… La Honte est déjà sur eux Tous, Tous informés depuis le début de ce marasme « losangexque« …

Quand on choisit la « collaboration« , il faut savoir rendre des comptes et s’effacer au profit de l’intérêt général… au minimum, et, sans autre commentaire.

Je peux, bien évidemment, apporter toute précision qui s’avérerait nécessaire et ce, sur simple demande.

Je me dois de préciser que je ne postule à aucun poste. Je ne suis plus « apte« . Je peux simplement pratiquer gracieusement (dans l’intérêt général) un court audit sur les prestations actuelles effectuées par PUBLICIS et TBWA (pour NISSAN). J’ai un avantage : je connais déjà les « brillants » résultats. Que le Louis S. présente son propre audit au sujet de « Mégane fait son Bercy« , et, que les soutiens du Carlos G. présentent l’audit au sujet de l’inauguration de l’usine de Curutiba au Brésil. Ils ont, depuis toujours, une parfaite connaissance des pratiques « généreuses » de la S.A. PUBLICIS avec, de plus, ses protections politiques, médiatiques et judiciaires !

Quelques éléments et il vous apparaîtra alors que les surfacturations constatées, avérées (et toujours d’actualité), sont environ de 59 à 82 % !!! Alors qu’une gestion saine** (en bon père de famille) permettait à la direction de la S.A.S. RENAULT de régulariser tous, tous ses devoirs. Certes, le Maurice L. – l’Arthur S. – la Elisabeth & le Robert B. ont, selon Eux, la meilleure agence de publicité au Monde ainsi que d’être un « incontournable partenaire décennal » qui permettrait d’atteindre les « économies » annoncées, promises solennellement par notre irrésistible duo Louis & Carlos (à Détroit) et ce, aux actionnaires, aux employés, au Peuple Français ! Mais, mais, mais… mathématiquement, quelqu’un peut-il m’expliquer comment dans un même et régulier volume d’opérations, la S.A. PUBLICIS peut augmenter dans le même temps et « aisément » ses bénéfices nets*** ? Et TBWA ? Il est à espérer que ce n’est pas le Peuple Français ni les alliés Japonais qui ont et qui payent encore cette gigantesque et titanesque incurie mafieuse (bis) !

Dans une volonté de transparence totale, pourquoi ne pas organiser une véritable confrontation contradictoire, technique voire même sémiologique (ressortons par exemple les dossiers de l’AVANTIME et de la VELSATIS, une VELSATIS seulement regrettée par nos Sénateurs à l’écoute attentive de notre brave Louis S. pour ses bons conseils au sujet d’ALSTOM, en 2018). Sans aucune prétention déplacée, je connais déjà le résultat en quelques minutes, et Vous ?

Enfin, j’affirme ici, comme vous le savez déjà, Monsieur le Président de la République, que, depuis dix-neuf ans, l’Etat a une réelle et lourde responsabilité dans « TOUT » ce que j’ai pu connaître : professionnellement, personnellement et même médicalement (Souhaitez-vous rencontrer les spécialistes à qui je dois d’être encore en vie ? C’est important et, une fois de plus, factuel. Une phrase d’un spécialiste ? Soit : « C’est un scandale, une honte. Même en Corée du Nord, on n’inflige pas de tels traitements à un individu !  » C’est un tout petit exemple, croyez-moi, il y a mieux !).

Restant en la seule attente d’un légitime et nécessaire sursaut républicain, je vous prie de bien vouloir trouver ici, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute considération.

Hervé LAMIAUX

* : Je suis resté dans une basique référence franco-française au sujet d’une trilogie populaire afin de ne pas déconcerter mes adversaires, alors qu’une référence était plus appropriée (celle de SEVEN – Monsieur David Robert JONES, en 1999 – Hours).

** : Cette lettre ouverte est déjà bien longue, j’aborderai prochainement les prestations payées mais jamais réalisées ! De même, je n’oublierai personne sur « le bord de la route » (affaires similaires). Les « petits soldats » ne seront pas épargnés (Jean-Baptiste D., Annie Dona G., Henri Z., Francis M., Alain B., Rachida D., Jean-Claude M., Christian H., etc., les syndicats, avocats, avoués, publi-reporters, etc.,…).

Comme l’écrivait Monsieur Boris VIAN :

« Un général sans soldat(s), est-il dangereux ?« 

*** : Nos « incompétents amis » réinventent les Mathématiques : une addition de nombres négatifs a pour seul résultat un nombre positif. Il suffisait d’y penser !

Chers « Amis » : Un peu de patience ! La Vérité est factuelle !…

Laissons déjà place à cet « innocent » démonstrateur irréfutable !…

Alors, « Imagination fertile » ou Réalité sordide?

Au passage :

– Qui a ouvert la filiale de RENAULT aux Pays-Bas ? Merci.

– Les instances judiciaires « souterraines » et le CREDIT LYONNAIS (L.C.L.) du Jean P. (administrateur de la S.A.S. RENAULT jusqu’à la fin de 1999) ont-il enfin retrouvé une seule trace signée des virements « intempestifs » effectués, évidemment à mon insu, sur mes comptes bancaires ? Merci.

– Il est vrai que j’ai refusé d’être salarié par PUBLICIS puis RENAULT. Il est également vrai que j’ai refusé de dîner avec le Louis S. chez la Annie Dona G. en avril 2000. Fallait-il que je devienne un « collaborateur » ? Non ! Merci.

– Je n’ai jamais oublié l’équipe E.P.M., je l’ai seulement épargnée !

N.B. : Outre internet et dans une totale transparence, cette lettre ouverte R.A.R. est également adressée en R.A.R. à Monsieur Jean-Dominique SENARD, la Présidence et le Parquet Général de la Cour d’Appel de Paris. N° Parquet : 18015000151 / Ident. justice : 1616605121 E

Hervé LAMIAUX

1 rue d’Enfer / 42170 Saint Just-Saint Rambert