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​​Lettre du 1er juin 2016 au Procureur de la République de Paris

Hervé LAMIAUX
1, rue d’enfer
42170 St-Just-St-Rambert
 

Monsieur le Procureur de la République de Paris
Lettre RAR 1A 109 173 6970 1
 
Copie : Madame Isabelle SIMA, chef de cabinet du Président de la République
Lettre simple

 
 
Lettre ouverte
Références : LAMIAUX c/ RENAULT S.A.S.
 

Saint Rambert, le mercredi 01 juin 2016

 
Monsieur le Procureur de la République de Paris,
 
Je suis étonné de ne pas avoir reçu de réponse de votre part suite à ma dernière missive du mercredi 13 avril 2016.
 
Je me permets de vous demander une confrontation judiciaire avec mes adversaires dès réception de la présente, cette affaire n’ayant que trop duré.
 
J’ai adressé au Parquet dès 2001 les preuves des trop nombreux dysfonctionnements au sein de la SAS RENAULT ainsi qu’aux plus hautes autorités de l’Etat, tout en étant appuyé par de nombreux parlementaires indignés par une telle affaire. Je ne suis donc pas le seul à constater les préjudices que je subis.
 
Je vous joins donc ici une copie de la lettre adressée ce jour à Monsieur Carlos GHOSN afin de vous démontrer, une fois encore, que ce dernier ne respecte ni les dirigeants de notre pays, ni vous-même. En effet, il ne vous remettra aucun des documents cités dans la lettre que je lui ai adressée, car il est bel et bien totalement empêtré dans une kyrielle de faux et d’escroqueries.
 
Pourtant, une enquête est ouverte quant à cette affaire. Sans ces documents, celle-ci est ineffective et incomplète. Je suis privé des preuves précitées qui étayent mes dires, mais la violation continue.
En effet, que vous a dit le Procureur de la République de Saint-Etienne quant au cambriolage organisé à mon domicile le 24 décembre 2011, où le double de mes preuves concernant cette affaire fut dérobé ?
Monsieur CADET, juge d’instruction, a également précisé que toutes les preuves archivées quant à cette affaire à la Cour d’Appel de Paris avaient disparues…


L’enquête en cours, dans ces conditions, est plus que difficile.
 
C’est ainsi que monsieur Carlos GHOSN entrave, de surcroît, toutes les règles de droit inhérentes au bon fonctionnement de notre République.
 
Combien de temps le citoyen français que je suis va devoir attendre avant de récupérer ce qui lui est dû ?
 
Comptant sur vous pour organiser une réunion réellement contradictoire salutaire dans les plus brefs délais, je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur de la République de Paris, mes sentiments les plus respectueux.
 

Hervé LAMIAUX