Article

17 février 2015 : Classement sans suite et contestation

Bonjour à tous

Je vous propose cette semaine:

– Le recommandé du 15 octobre 2013 dans lequel je porte plainte contre Monsieur François Falletti, procureur général de la cour d’appel de Paris, Monsieur Carlos Goshn, président directeur général de Renault-Nissan et X notamment pour abus de confiance, escroquerie, faux, usage de faux, entrave à la manifestation de la vérité…
Ce dépôt de plainte énonce les articles du code pénal bafoués par Renault et ses complices ainsi que les faits attestant de ces violations de la loi.

– La réponse du Procureur de la République datée du 22 août 2014: un classement sans suite où on me laisse la possibilité de contester le classement auprès du procureur général de la cour d’appel de Paris: procureur contre lequel ma plainte du 15 octobre 2013 portait en partie!
Ce qui constitue une violation de la Constitution!

– Le recommandé du 10 octobre 2014, que j’ai adressé au procureur général de la cour d’appel de Paris, dans lequel je conteste le classement sans suite et lui demande de me présenter le procès verbal de constat de Didier Benhamou, André Hadjedj et Franck Jakubowicz.
Ce procès verbal de constat, établi en 2005 par un huissier engagé par Renault par rapport au site que j’avais créé, dénonçant les pratiques de Renault et qui fut rapidement « fermé », avait servi à mes adversaires lors d’un procès la même année. 
Les preuves présentes sur mon site, notamment les billets d’avion prouvant bien mes déplacements pour Renault en Allemagne et en Belgique, n’y figuraient pas!
Ce procès verbal est donc une pièce capitale puisqu’il prouve la culpabilité de l’huissier l’ayant rédigé, de Renault et de ses complices.

– La réponse du 21 cotobre 2014 du procureur général de la cour d’appel de Paris où il est écrit je cite:  » J’ai l’honneur de vous faire connaître qu’après examens des éléments de cette affaire, je n’estime pas devoir remettre en cause la décision prise par le procureur de la République ».
Cette réponse sans surprise prouve une fois de plus l’entente entre Renault et ses trop nombreux complices, leur culpabilité ainsi que la gêne liée au fameux procès verbal de constat…

​Hervé Lamiaux