Article

​​Lettre du 28 octobre 2016 au Président de la République

Ce courrier a été envoyé dans son intégralité et par anticipation le 28 octobre 2016

Hervé LAMIAUX
1 rue d’Enfer
42170 Saint Just-Saint Rambert 

Références : PDR/SCP/BCP/BR/A012371

Saint Just-Saint Rambert, le vendredi 28 octobre 2016 


Monsieur le Président de la République,

Madame le Chef de Cabinet, 

 

J’ai bien reçu vos lettres du 20 novembre 2014 et du 27 septembre 2016.

Je ne comprends pas vos courriers.

En effet, depuis 17 ans, je n’ai jamais, jamais demandé une intervention du pouvoir exécutif auprès du pouvoir judiciaire, faussement réputé indépendant.

Dès lors, pourquoi, depuis 17 ans, le pouvoir exécutif me présente-t-il des lettres-types qui ne me concernent pas (?).

Je reconnais, simplement et naïvement, avoir pensé que le fameux pouvoir judiciaire était indépendant, impartial, disposant de voies de recours prévues par la Loi. Je reconnais, également, avoir naïvement pensé que le pouvoir exécutif pouvait mettre fin à de nombreux et très graves dysfonctionnements au sein de la S.A.S. RENAULT ainsi qu’au sein du pouvoir judiciaire et ce, dans l’intérêt de notre République.

Il n’en est rien ! J’apporte donc ici une démonstration irréfutable reposant sur des faits, des pièces justificatives, des preuves irréfragables qui ne font que confirmer mes écrits, et dénoncer, encore une fois, l’odeur nauséabonde qui se dégage de l’île de la Cité à Paris et de Boulogne-Billancourt.

Pourtant, dès 2001, la direction de l’URSSAF m’avait tenu les propos suivants : 

« Monsieur LAMIAUX, vous avez toujours payé vos cotisations. On ne peut pas en dire autant de vos adversaires, dont la S.A.S RENAULT, qui nous doit, à ce jour, environ la somme de … (Je ne dispose pas du justificatif mais l’oubli n’est pas un parent pauvre de ma mémoire) … Nous ne disposons d’aucun recours indépendant. Nous savons exactement ce qui vous est arrivé chez RENAULT ainsi qu’avec leurs amis du CREDIT LYONNAIS…

Que l’ « on » ne compte pas sur nous pour faire le sale boulot (Nous sommes en 2016 et la direction de l’URSSAF a respecté sa parole donnée !) … Pour cette affaire lamentable, vous allez vous présenter devant le Tribunal de Commerce de Paris : vous êtes chez « eux » … Ensuite, vous allez vous présenter devant la Cour d’Appel de Paris : vous êtes, à nouveau, chez « eux » … Comme vous serez toujours chez « eux », si « on » vous laisse aller devant la Cour de Cassation, devant le Parquet, devant le Parquet Général, devant l’Instruction Siège, ce sera en vain et vous n’arriverez jamais à saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme car vous serez toujours chez « eux » ! Vous pouvez oublier, pour votre bien, la manifestation de la vérité que vous demandez dans tous vos courriers… » (sic)

Vous voyez, Monsieur le Président de la République, Madame le Chef de Cabinet, l’oubli n’est vraiment pas un parent pauvre de ma mémoire et, dès 2001, la direction de l’URSSAF avait déjà décrit, avec une grande précision, ce qui m’attendait.

Je ne suis qu’un simple citoyen mais vous comprendrez aisément que je vous demande, avec un infini respect, de bien vouloir nous (les françaises, les français, nos amis étrangers… bref ! toutes les « internautesses » et tous les internautes : je ne veux aucun ennui avec mes amies féministes car je vais, dans cette lettre, parler en bien de Monsieur Dominique STRAUSS-KAHN…) présenter ce que la S.A.S RENAULT devait en cotisations en 2001, et, ce qu’elle doit aujourd’hui. Il en va de même pour le CREDIT LYONNAIS (devenu L.C.L) ainsi que pour l’excellente agence de publicité la S.A. Publicis !

Tous les plans Schweitzeriens et Ghosniens sont-ils toujours à la charge du contribuable comme, par exemple, l’accompagnement (par tous les « bienveillants » syndicats) relatif aux 4600 collaborateurs expérimentés, de 55 ans, poussés vers la porte de sortie en ce moment même ?

Vous comprendrez, toujours aisément, que si de telles sociétés (que le monde entier nous envie) échappent à leurs obligations, aux lois de notre République, alors tous les travailleurs indépendants, les E.U.R.L, les S.A.R.L, les petites et moyennes entreprises… doivent récupérer au centime près tout ce qu’ils ont versé ou versent encore, parfois avec majorations et pénalités de retard, et ce en raison du mot qui vient toujours entre Liberté et Fraternité : à savoir l’Egalité.

Ensuite, je souhaite vous lire, vous entendre sur ce que la direction de l’URSSAF appelle « chez eux ». 

Je pensais, toujours simplement et naïvement, que la Justice était prononcée au nom du Peuple Français et non pour la défense d’intérêts particuliers.

Madame Isabelle SIMA, je compte sur vous pour prendre connaissance de cette longue mais nécessaire missive, et, de bien vouloir la présenter à notre Chef de l’Etat qui est le garant de l’indépendance du pouvoir judiciaire et le garant du bon fonctionnement de nos institutions. 

 

Messieurs CHIRAC et SARKOZY ont donc échoué dans leurs missions et je pense, au vu des récentes déclarations de Monsieur François HOLLANDE, qu’il est un Président honnête, intègre, qui ne peut rester inactif devant ce qui précède et, surtout, devant ce qui suit (tout étant instantanément vérifiable…).

Vous me répondez toujours en aller-retour. Vous êtes attentifs à ma situation, ce dont je vous remercie vivement. Je vous propose donc de commencer par de très simples vérifications édifiantes. Ainsi, je me permets de laisser quelques jours à votre hiérarchie afin de me présenter les poursuites engagées par l’administration fiscale à l’encontre de Monsieur Maurice TOULOUZE (mon ex-associé de M.H. Conseil)

Je sais pertinemment qu’il n’est pas en mon pouvoir de vous adresser d’injonction en ce qui concerne les délais, mais étant donné que cette affaire dure depuis 17 ans, vous conviendrez que la réponse à ma missive est toute trouvée et mérite d’être délivrée dans un court délai.

En ce qui me concerne, lesdites poursuites ont été engagées en février 2000, soit une semaine après mon refus de valider la position de PUBLICIS en partenaire « OPTIMA » de la S.A.S. RENAULT (refus appuyé par des membres du service juridique, de cette ex-Régie, devant des prestations à payer et, pourtant, non-réalisées !).

Je sais pertinemment que le juge administratif a levé toutes les demandes de l’administration fiscale pour un total non-respect de la contradiction, non-contradiction que je connais également par ailleurs depuis 17 ans…

Je pense, et vous l’admettrez encore aisément, que cette « mascarade » a assez duré et que  la « récréation » est terminée.

J’attends donc, pour le 4 novembre 2016, que l’administration fiscale me présente les poursuites engagées à l’encontre de Monsieur Maurice TOULOUZE en février 2000 (attestations de dépôts, courriers, récépissés…).

Sans aucune provocation, mais seulement par anticipation, je vous propose respectueusement et immédiatement de nous rendre au 4 novembre 2016. ///

Hervé LAMIAUX
1 rue d’Enfer
42170 Saint Just-Saint Rambert 

Références : PDR/SCP/BCP/BR/A012371                            

Saint Just-Saint Rambert, le vendredi 04 novembre 2016 


Monsieur le Président de la République

Madame le Chef de Cabinet, 


Je n’ai reçu aucun justificatif des poursuites engagées, à l’encontre de Monsieur Maurice TOULOUZE, par l’administration fiscale en février 2000.

Force est donc de constater que Monsieur TROTI, de l’administration fiscale, disait vrai quand il affirmait que Messieurs FABIUS et SCHWEITZER se servaient de cette noble institution afin de faire pression sur ma personne… en résumé, de me nuire !

Vous comprendrez donc, à ce stade, et pour une transparente information que je vous demande d’intervenir auprès de la direction de la S.A.S RENAULT (l’Etat étant toujours, me semble-t-il, un Administrateur et un important actionnaire de cette entreprise…).

Intervenir : Oui, mais pourquoi ?

Afin que Messieurs SCHWEITZER et GHOSN (qui ne parlent que de transparence totale et de traçabilité) vous présentent les analyses réalisées gracieusement, entre février et juin 1999, au sujet de « Mégane fait son Bercy » (commanditée par Monsieur SCHWEITZER) ainsi que l’inauguration de l’usine de Curitiba au Brésil (commanditée par Monsieur GHOSN).

En réunion générale, en juin 1999, la société PUBLICIS (représentée à l’époque par Monsieur ATTIAS sous l’étiquette G.E.S devenue ensuite PUBLICIS DIALOG) n’a pas contesté un seul point de mon Audit.

Ledit Audit a révélé que PUBLICIS était totalement incapable de justifier la « disparition » de plus de 20 millions de francs et ce, pour deux événements internes à l’entreprise RENAULT (?).

Et encore, j’avais accepté comme justificatifs des factures internes provenant de Suisse et de Portsmouth pour des conceptions « internationales » relatives à la Mégane apparaissant dans un nuage de fumée ainsi que la coupure d’un ruban et ce, avec une musique de Sir Paul McCartney « Live and Let Die » (1973)

Il va sans dire que la S.A.S. RENAULT et son partenaire « OPTIMA » PUBLICIS n’avaient aucune autorisation du célèbre ex-Beatles pour ce faire et que, de plus, aucun droit de reproduction mécanique n’a été versé malgré un grand nombre de cassettes V.H.S qui ont été délivrées par les partenaires de toujours de la S.A.S RENAULT.

C’est pourquoi, Messieurs SCHWEITZER et GHOSN vont vous présenter, Monsieur le Président de la République, Madame le Chef de Cabinet, dans la plus grande transparence ces deux audits ainsi que tous ceux menés jusqu’à mon « éviction », « éjection » du mois de septembre 2000 et ce, avant le 11 novembre 2016.

Toujours par anticipation, je vous propose de nous retrouver le 11 novembre 2016. ///

Hervé LAMIAUX
1 rue d’Enfer
42170 Saint Just-Saint Rambert 

Références : PDR/SCP/BCP/BR/A012371                                                                              

Saint Just-Saint Rambert, le vendredi 11 novembre 2016 


Monsieur le Président de la République,

Madame le Chef de Cabinet, 
 

Nous sommes un jour férié mais il n’y pas de jour férié pour la manifestation de la vérité.

Je ne peux vous cacher ma profonde inquiétude devant ce « Sound of silence » (Paul Simon & Art Garfunkel) et votre plus que probable « Stupefaction » (au sens de Graham Parker)…

Je me dois donc de poursuivre votre nécessaire information sans jamais voir un seul justificatif, aucune pièce, aucune preuve (?)…

Depuis 17 ans, je subis donc au quotidien des « interprétations » qui ne sont que des « escroqueries » à répétition !

Mais, je pense que tout le monde a le droit à une seconde chance, et que la transparence totale ainsi que toute la traçabilité quant à cette affaire vont enfin se produire !

Je sais que Messieurs SCHWEITZER et GHOSN vont s’empresser de vous présenter les éléments suivants (démontrant ainsi qu’ils n’ont rien à cacher, qu’ils n’ont donc produit aucun Faux dans des écritures publiques, et, que des avocats, dont le mien (Maître FLORAND), des huissiers dits de Justice, des magistrats dont Messieurs JACOMET, MARIN (tiens, notre ami qui se sent humilié par vos récents propos, Monsieur le Président de la République), qui ont également produit des Faux, abusant bien évidemment de leurs qualités vraies…) :

L’état des frais de Mademoiselle Carol-Ann MUSSMAN pour la période du 1er septembre au 31 décembre 1999, voire toute la période où j’ai pu œuvrer dans les intérêts de nos concitoyens ;

Le fameux Procès-Verbal de constat des huissiers dits de justice HADJEJ, JAKUBOWICZ & compagnie (2005) – Annexe 6 et 6.1 (7 pages ont disparu…) ;

La lettre où j’aurais écrit « Je ne me rendrai plus ni en Allemagne ni en Belgique » … évidemment, toute la lettre ! ;

Une seul note de remboursement des frais engagés par ma personne (déplacements, salaires d’experts extérieurs etc.) ;

Un historique (avec justificatifs) réalisé par Monsieur PEYRELEVADE (Administrateur de Renault jusqu’à la fin de 1999) dans ses fonctions de Président du CREDIT LYONNAIS. J’entends par historique : un rapide résumé des 4 jours où j’ai mis, le vendredi, tous mes comptes à découvert (sans aucun ordre de virement). Puis, j’ai demandé que l’  « on » m’adresse des R.A.R., toujours le même vendredi, pour une réception le lundi matin où l’« on » a décidé de frapper d’interdictions bancaires mon épouse et moi-même.
Il est bien entendu que j’attends une attestation de Monsieur Philippe BALLET, seul gestionnaire de mes comptes au sujet de ce scénario bel et bien improbable, stupide mais validé, en tout point, par mes amis, mes vrais amis travaillant tous sur l’île de la Cité à Paris et ce toujours au nom du Peuple Français !!! 

Pourquoi Messieurs SCHWEITZER et GHOSN ne vous montrent-ils pas mon dossier d’édition qui a permis à la DRAG (filiale allemande de RENAULT) de réaliser plus de 53% d’économies sur leurs brochures par rapport à celles que le siège de Boulogne-Billancourt impose à ses filiales et ce, toujours en provenance directe de… PUBLICIS (?).

Pourquoi lors de la réunion générale de la DRAG en décembre 1999 ai-je été le seul invité de chez RENAULT par le Président de la DRAG et son Directeur Financier ? Pourquoi Messieurs SCHWEITZER et GHOSN n’étaient-ils pas avec moi ? Pourquoi les dirigeants de la S.A.S RENAULT ont-ils refusé à maintes reprises au Président de leur filiale brésilienne de m’accueillir ?… etc.

Avaient-ils peur d’une révolte générale ?


Et, comme toujours, sans justificatif, aucune pièce, aucune preuve, mais uniquement dans l’interprétation lassante d’une reprise du célèbre « Tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais » de Madame ROYAL qui n’a pas hésité au comparatif de pollution entre une VOLKSWAGEN et une RENAULT. Ah ! Il n’y a pas eu de comparatif…Je suis désolé ! 

Toujours par anticipation, je vous propose de nous retrouver le 18 novembre 2016. ///

Hervé LAMIAUX
1 rue d’Enfer
42170 Saint Just-Saint Rambert

Références : PDR/SCP/BCP/BR/A012371                                                                 

Saint Just-Saint Rambert, le vendredi 18 novembre 2016 


Monsieur le Président de la République

Madame le Chef de Cabinet, 


Je vous prie de croire que je pense réellement que vous avez fait de nombreux efforts afin de réunir des justificatifs, des pièces, des preuves…mais, en vain.

Nos institutions, volontairement ou non, servent quelques intérêts particulièrement malsains car elles se servent du Peuple Français en cachet et en cachette, mais désormais ouvertement !

En effet, les dirigeants de la S.A.S RENAULT, ceux du CREDIT LYONNAIS (devenu L.C.L)…pour ne citer qu’ « eux »… savent désormais qu’ils peuvent être illégalistes !

La direction de l’URSSAF ne m’avait pas menti. « Sur l’île de la Cité à Paris…ils sont chez « eux » ».

Je me dois donc de reconnaître que « eux » sont parfaitement organisés et qu’ « eux » savent orchestrer au jour près tout délit, dont des délits pénaux !

Un simple exemple : mon épouse, Florence LAMIAUX, a connu (en parfaite synchronisation) des saisies sur son salaire perpétrées par les « amis » de « eux » au sein de l’administration fiscale et le refus de l’aide juridictionnelle, pourtant légalement autorisée au vu de notre situation antérieure, qui aurait dû nous permettre d’aller devant la Cour de Cassation.

Monsieur le Président de République, Madame le Chef de Cabinet, vous pouvez, si vous le souhaitez, continuer à demander, exiger des pièces justificatives, des preuves…vous n’obtiendrez rien !

 Vous pouvez, par exemple, démontrer aux dirigeants de la S.A.S RENAULT comment se débarrasser de la C.A.T Voyages (son agence interne), la vendre, ne pas respecter ses engagements et permettre ainsi à PUBLICIS, de Monsieur LEVY, de faire disparaître son principal concurrent dans le marché événementiel !

Vous pouvez, par exemple, demander aux dirigeants de PUBLICIS comment ils ont aidé la S.A.S RENAULT à se « débarrasser » de Madame Dominique PHILIPPE, Directrice Marketing, qui ne voulait absolument plus voir PUBLICIS dans les couloirs de la S.A.S RENAULT. Un peu du Monde, un peu du Figaro… une liberté de la presse qui est affaiblie (comment ne pas constater son inertie ! Nos journalistes sont en effet devenus des publi-reporters).
Ainsi, la machination a parfaitement marché !

Vous pouvez, par exemple, demander à celui que les japonais considèrent comme un Dieu (Monsieur GHOSN) le montant de ses frais de décoration afin qu’il soit dans son univers, et ce qu’il a fait de Madame Dona GIMENEZ !

Une défenestration d’un salarié, une cascade de dépressions nerveuses d’acheteurs…donc un médecin du travail que l’ « on » déplace. Et, après un court passage chez Monsieur MER (celui qui voulait écrire un livre pour expliquer l’Economie aux Français : Le Manifeste du Parti Meriste…tout un programme), une arrivée triomphale de ce médecin chez TBWA (agence de publicité de NISSAN). Un parfait hasard !

Monsieur le Président de la République, Madame le Chef de Cabinet, je vous autorise ici à tout communiquer sur mes revenus, mes biens, les ventes, les saisies, les poursuites, mes ordonnances médicales des deux dernières années…je n’ai rien à cacher : je suis pour la transparence totale si chère à ces malfrats.

Bien entendu, j’attends une parfaite réciprocité…

La France reconnaissante à Messieurs MITTERAND et BADINTER d’avoir aboli la peine de mort courageusement, oui, cette France reconnaissante doit connaître la vérité : quels chiffres d’affaires ont été réalisés par la S.A.S RENAULT avec la S.A. PUBLICIS dans les années 70, 80, 90, 2000, 2010 et quels ont été les « dividendes » perçus par la famille BADINTER dans ces périodes.

Je me permets de rappeler que, pendant cette longue période, l’Etat était actionnaire majoritaire au sein de la S.A.S RENAULT.

Je vais limiter cette missive mais je peux, si vous le souhaitez, aborder le sujet des idées « volées » à des intermittents, du nombre de salariés décédés (crises cardiaques donc « morphologiquement fragiles ») à l’usine de Douai suite à des changements d’horaires, mais aussi les suicides comme celui du mois de septembre 2016, des personnes « nerveusement fragiles » du Techno centre…

Monsieur le Président de la République, Madame le Chef de Cabinet, je peux, si vous le souhaitez, vous parler de ma méthodologie reposant sur des devis-types et une base de données. Il m’a fallu près de dix ans pour mettre définitivement au point cette méthode. Elle a été traduite dans toutes les langues par les dirigeants de la S.A.S RENAULT au mois de septembre 1999.

Personne, j’écris bien Personne, ne peut montrer un de ces devis-types utilisé avant mon arrivée chez RENAULT.

Que l’ « on » me montre un seul accord de ma part quant à l’utilisation nationale voire internationale de ma méthode puisque le contrat précisait que je devais faire une utilisation personnelle de ladite méthodologie… « Ils » ne savent même pas l’appliquer et ce, même après des demandes formulées à des entreprises d’audits… La déontologie n’est pas de mise chez RENAULT !

Je devine vos questions et je vous réponds directement : sur un budget annuel d’environ 4 milliards de Francs, Monsieur Dominique STRAUSS-KAHN (grand Ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, comme Monsieur Pierre BEREGOVOY…) pensait que je pouvais réaliser une réelle économie d’1 milliard 500 millions de francs et ce, sur le seul domaine de production du secteur Evénements, Publicité et Marketing.

Si vous le voulez bien, effectuons ensemble un petit calcul très simple en prenant en compte le passage à l’euro : (1,5 x 17) / la valeur de l’euro  = prés de 4 Milliards d’euros… Ah ! Quand même, et ce dans un seul secteur ! 

Il va sans dire que je ne parle pas ici des achats d’espaces publicitaires qui ont un budget identique. Quant à NISSAN…sans commentaire !

Monsieur le Président de la République, Madame le Chef de Cabinet, je suis en mesure de répondre à toutes vos questions relatives à cette délinquance dite en « col blanc ». J’affirme, une fois de plus, que l’intégralité de mon dossier (avec des témoignages écrits, les Faux de RENAULT, les Faux du CREDIT LYONNAIS, les Faux des magistrats, les Faux des huissiers, etc.) a entièrement disparu des archives de la Cour d’Appel de Paris dès 2005… sans commentaire !

Les nombreux témoins (que l’on n’a jamais voulu auditionner) sont toujours vivants. Je ne sais pas si ce sera toujours le cas dans 17 ans.

Pourra-t-on expliquer, un jour, le licenciement de mon expert-comptable, Monsieur Jean-Marcel DELERUE, les « découvertes » de Mademoiselle Isabelle BONNET lors de ma vérification comptable en 2003 et ses déclarations extrêmement précises à Monsieur Nicolas CORI de Libération, dont la Rédaction a empêché la parution de son article édifiant, le cambriolage de mon domicile au mois de décembre 2011, etc. ?

Il me faut terminer cette missive car vous avez beaucoup d’affaires à traiter. Je souhaite simplement préciser que toutes les économies que j’ai pu réaliser chez RENAULT n’étaient pas des « coupes sombres » à la GHOSN (cf. ses résultats) mais des productions identiques en tout point à celles déjà réalisées et surfacturées, et ce avec plus de matériel, plus de techniciens. Oui, il est possible d’inverser la courbe du chômage si « on » évite certains intermédiaires totalement inutiles voire nuisibles !

Intermédiaires que l’ « on » retrouve comme conseillers économiques de partis (je pouffe), mais aussi comme président de la HALDE avec des locaux loués à son propre président…
J’oubliais, nous pouvons tous dormir en toute sérénité, l’agence de publicité retenue par Monsieur SCHWEITZER était…PUBLICIS : je pouffe à nouveau !

Je termine enfin par une simple phrase du spécialiste à qui je dois d’être encore en vie : « Monsieur LAMIAUX, « on » aurait voulu vous empoisonner que l’ « on » n’aurait pas fait autrement ! ». (sic)

En parfaite réciprocité avec votre dernier courrier, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, Madame le Chef de Cabinet, l’assurance de ma considération distinguée.

Hervé LAMIAUX


P.S. : Je peux, en deux jours, réaliser gracieusement un audit relatif à deux productions : une de RENAULT et une de NISSAN. Nous poufferons ensemble !

N.B. : J’attends avec impatience votre réponse appuyée par de nombreux justificatifs car, aujourd’hui, la situation est manichéenne : je dis vrai ou je dis faux.

Bien à vous.